Le vaisseau spatial et OTIS communiquent !
Il s’agit d’une étape importante vers l’aboutissement du programme : les équipes de NGAS (Northrop Grumman Aerospace Systems), de Ball Aerospace, et du centre Goddard de la NASA ont profité d’une occasion qui leur a été donné pour réaliser le test optionnel sans risque qui consistait à connecter électriquement les deux moitiés de l’observatoire, à savoir le vaisseau spatial et le télescope avec son instrumentation associée (ie. l’OTIS) et ce, plusieurs mois avant ce qui était planifié. Ainsi, si le moindre problème était survenu, les ingénieurs et techniciens auraient eu davantage de temps pour le résoudre sans causer de délais supplémentaires.
Chaque pièce du JWST a subi des batteries de tests rigoureux dans des installations historiques mais de dernier cri à travers les Etats-Unis. Ce qui donne la garantie que l’observatoire dans son ensemble est fin prêt pour survivre à la rudesse inhérente à un lancement de fusée, ainsi qu’à des années d’exposition continue dans les conditions extrêmes qui règnent à 1,5 millions de kilomètres de la Terre.