Results from the JWST Data Analysis User Survey

Between June 7 and August 2, 2019, an online user survey was conducted by STScI for focusing on the users’ needs and expectations for JWST data analysis software and training. Well over 400 users completed the survey, and the median time spent on the survey was just over 5 minutes. STScI greatly appreciated the response – the surveys represent a fundamental way for them to make data-driven decisions.

  • Here is a summary of some of the survey results:

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    • – 59% of respondents identified as faculty/staff, with the remaining being students or postdocs. A similar distribution was already seen in a previous survey.
    • – Python is the most common language used, but more than 50% of respondents also use other major platforms (IRAF/IDL/Fortran+C) some of the time. Postdocs and students use Python at a significantly higher rate. Based on previous experience with other space observatories, almost 70% of users expect to start their data analysis efforts from individual, calibrated, or uncalibrated exposures.
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  • – The JWST pipeline will produce higher-level products from the beginning of the mission. Almost 80% of users expect to download their JWST data from the archive and analyze it on a local machine. Users prioritize training specific to JWST, as opposed to general training in Python and non-specific analysis tools.
  • – Users identify a critical need for training materials that are available when needed (written documentation, help desk, colleagues, video tutorials). Scheduled training workshops are only identified as critically important by 10-20% of the community.
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The results of the survey are already being used by STScI, the JWST project at GSFC, and the JWST Users Committee to help direct and prioritize efforts to develop software for use with JWST data.

The JWST ETC Cycle 1 Version 1.5 Is Now Live

STSCI announces the release of version 1.5 of the JWST Exposure Time Calculator (ETC), the final version prior to the Cycle 1 call for proposals. This release contains new instrument modes, as well as usability, performance, and accuracy improvements, including:

  • – New NIRCam Short Wavelength and Long Wavelength Imaging Time Series modes, including support for weak lens observations.
  • – New NIRSpec modes for MOS Confirmation Imaging, MOS Verification Imaging, and IFU Verification Imaging.
  • – Elimination of flat field errors for MIRI, NIRCam, and NIRISS time series modes. This enables estimates of the shot noise limit for exoplanet transit observations with very high signal-to-noise ratios.
  • – Changing the full-well depth for the NIRISS AMI mode to help users avoid the regime where charge can spill over between pixels. This decreases the saturation limit for NIRISS AMI by ~60%.
  • – New FASTGRPAVG readout pattern options for MIRI target acquisitions on fainter targets.
  • – Replacement of the NRS readout pattern with the new NRSRAPIDD6 for NIRSpec target acquisition. This now matches an operational change to improve the handling of cosmic rays.
  • – Addition of the neutral density filter to MIRI Imaging to support LRS Verification Imaging.
  • – Updates to Example Science Program Workbooks.
  • – Implementing a fix for a bug where the NIRSpec Multi-object Spectroscopy strategy offset the target in the wrong direction.
  • – Implementing a fix for incorrectly labeled Phoenix stellar model options.
See the release notes for details
Be sure to review the known issues for this release

As usual, your old workbooks are still available, but are marked read-only. Copying these workbooks will update them to version 1.5 so that you can continue working in the ETC.

Le Télescope Harmonique

Événements Grand Public

Le Télescope Harmonique

Le Télescope Harmonique est un projet de médiation scientifique du CEA pour résonner avec le lancement du télescope Webb

Événements Grand Public

Le Télescope Harmonique

Le Télescope Harmonique est un projet de médiation scientifique du CEA pour résonner avec le lancement du télescope Webb

Un espoir pour la communauté scientifique

Le département du LESIA de l’Observatoire de Paris, l’Institut d’Astrophysique Spatiale (IAS) de l’Université Paris Saclay, le Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (Pytheas) ont œuvré sous la maîtrise d’œuvre du Département d’Astrophysique du CEA – Saclay, sous l’égide du CNES, à la conception et la réalisation du composant de l’instrument MIRI (Mid-InfraRed Instrument) un des 4 instruments du JWST, qui concerne l’imageur, les coronographes et la spectroscopie de basse résolution pour des observations qui seront effectuées dans le domaine de l’infrarouge thermique (de 5 à 28 micron de longueur d’onde). C’est le seul instrument à bord du JWST qui observera dans cette fenêtre spectrale. Il va notamment permettre l’étude des exoplanètes dans une gamme spectrale très peu explorée jusqu’à présent, ce qui devrait mettre en évidence l’existence de diverses molécules qui seraient impossible de détecter à de plus courtes longueurs d’onde. La participation française est excellemment positionnée, et il nous revient de collectivement la valoriser au maximum, en la partageant avec le public notamment.

 

Le Télescope Harmonique

Le Télescope Harmonique est un outil de médiation scientifique destiné à créer un lien entre cette aventure scientifique unique et le grand public. Il a germé en 2019 au CEA-Saclay avec le désir de partager la démarche scientifique et technique mise en œuvre dans la quête des exoplanètes.

 

Une équipe formée de scientifiques et de communicants s’est alliée avec le Studio Cubozoa afin de développer ce projet de médiation sous forme d’une expérience ludique, artistique et interactive. Cette nouvelle offre de jeu collectif, entre escape game et expériences musicales immersives, permettra aux participants de résoudre collectivement ou individuellement l’identification d’une exoplanète à partir de données scientifiques réelles, par le biais d’une analogie musicale pour toucher le plus grand nombre.

Conception du dispositif

Après la phase de développement qui a duré plus d’un an, le dispositif est utilisé pour la première fois à la Cité des Sciences lors de la Fête de la Science, avec des séances destinées aux scolaires et au grand public, auprès desquels il reçoit de chaleureux compliments.

 

 

Le dispositif se décline en trois formes :

Dispositif ludique : Trois modules et un écran géant qui immergeront un groupe de 9 personnes pendant 40 min dans le monde des exoplanètes.
Jeu numérique : un seul module permettra à un joueur ou un groupe de joueurs de découvrir les exoplanètes
Jeu en ligne : le Télescope Harmonique est également disponible  sur navigateur via ce lien :

Où retrouver le Télescope Harmonique ?

    • – Actuellement : Planétarium d’Epinal à Epinal (dispositif ludique)
    • – 26 au 28 mai 2023 : Festival Double science au ground Control à Paris (jeu numérique)
    • – 9 au 13 octobre 2023 : Labshow CEA à Saclay (dispositif ludique)
    • – 14 au 25 septembre 2023 : Festival numérique Digital Weeks à Nantes (dispositif ludique)
    • – 21 janvier 2023 : Le marché des connaissances à Bordeaux (jeu numérique)
    • – 28 octobre au 2 novembre 2022 : Festival les Utopiales à Nantes (dispositif ludique)
    • – 11 au 13 février 2022 : Festival fantastique YGGDRASIL à Lyon (jeu numérique)
    • – 12 et 13 mars 2022 : la nuit de l’équinoxe à Lyon (jeu numérique)
    • – 1er au 10 octobre 2021 : Cité des sciences à Paris (dispositif ludique)

Trailer du Télescope Harmonique, réalisé par Julien Léon

Photos prises pendant la fête de la science à la Cité des sciences et de l‘industrie en octobre 2021.

Crédit : E. Laurent/EPPDCSI

Plus d’information sur le Télescope Harmonique : www.telescope-harmonique.fr

Un espoir pour la communauté scientifique

Le département du LESIA de l’Observatoire de Paris, l’Institut d’Astrophysique Spatiale (IAS) de l’Université Paris Saclay, le Laboratoire d’Astrophysique de Marseille (Pytheas) ont œuvré sous la maîtrise d’œuvre du Département d’Astrophysique du CEA – Saclay, sous l’égide du CNES, à la conception et la réalisation du composant de l’instrument MIRI (Mid-InfraRed Instrument) un des 4 instruments du JWST, qui concerne l’imageur, les coronographes et la spectroscopie de basse résolution pour des observations qui seront effectuées dans le domaine de l’infrarouge thermique (de 5 à 28 micron de longueur d’onde). C’est le seul instrument à bord du JWST qui observera dans cette fenêtre spectrale. Il va notamment permettre l’étude des exoplanètes dans une gamme spectrale très peu explorée jusqu’à présent, ce qui devrait mettre en évidence l’existence de diverses molécules qui seraient impossible de détecter à de plus courtes longueurs d’onde. La participation française est excellemment positionnée, et il nous revient de collectivement la valoriser au maximum, en la partageant avec le public notamment.

Le Télescope Harmonique

Le Télescope Harmonique est un outil de médiation scientifique destiné à créer un lien entre le grand public et cette aventure scientifique unique. Il a germé en 2019 au CEA-Saclay avec le désir de partager la démarche scientifique et technique mise en œuvre dans la quête des exoplanètes.

 

Une équipe formée de scientifiques et de communicants s’est alliée avec le Studio Cubozoa afin de développer ce projet de médiation sous forme d’une expérience ludique, artistique et interactive. Cette nouvelle offre de jeu collectif, entre escape game et expériences musicales immersives, permettra aux participants de résoudre collectivement ou individuellement l’identification d’une exoplanète à partir de données scientifiques réelles, par le biais d’une analogie musicale pour toucher le plus grand nombre.

Conception du dispositif

Après la phase de développement qui a duré plus d’un an, le dispositif est utilisé pour la première fois à la Cité des Sciences lors de la Fête de la Science, avec des séances destinées aux scolaires et au grand public, auprès desquels il reçoit de chaleureux compliments.

 

 

Le dispositif se décline en trois formes :

Dispositif ludique : Trois modules et un écran géant qui immergeront un groupe de 9 personnes pendant 40 min dans le monde des exoplanètes.
Jeu numérique : un seul module permettra à un joueur ou un groupe de joueurs de découvrir les exoplanètes
Jeu en ligne : le Télescope Harmonique est également disponible  sur navigateur via ce lien :

Où retrouver le Télescope Harmonique ?

  • – ActuellementPlanétarium d’Epinal à Epinal (dispositif ludique)
  • – 26 au 28 mai 2023 : Festival Double science au ground Control à Paris (jeu numérique)
  • – 9 au 13 octobre 2023 : Labshow CEA à Saclay (dispositif ludique)
  • – 14 au 25 septembre 2023 : Festival numérique Digital Weeks à Nantes (dispositif ludique)
  • – 21 janvier 2023 : Le marché des connaissances à Bordeaux (jeu numérique)
  • – 28 octobre au 2 novembre 2022 : Festival les Utopiales à Nantes (dispositif ludique)
  • – 11 au 13 février 2022 : Festival fantastique YGGDRASIL à Lyon (jeu numérique)
  • – 12 et 13 mars 2022 : la nuit de l’équinoxe à Lyon (jeu numérique)
  • – 1er au 10 octobre 2021 : Cité des sciences à Paris (dispositif ludique)

Trailer du Télescope Harmonique, réalisé par Julien Léon

Photos prises pendant la fête de la science à la Cité des sciences et de l‘industrie en octobre 2021.

Crédit : E. Laurent/EPPDCSI

Plus d’information sur le Télescope Harmonique : www.telescope-harmonique.fr

Le JWST a été assemblé pour la première fois!

L’équipe en charge de l’assemblage guide avec une extrême précaution la partie suspendue du télescope pour la positionner au dessus du vaisseau spatial. Crédits: NASA/Chris Gunn

Le 28 août 2019, une étape très importante a été franchie lorsque les ingénieurs de la NASA ont réussi à connecter les deux moitiés (le vaisseau spatial et le télescope) du JWST pour la première fois dans les locaux de Northrop Grumman à Redondo Beach, en Californie.

Pour réaliser cet assemblage, les ingénieurs ont utilisé une grue pour soulever (avec précaution !) le télescope (qui comprend non seulement les miroirs mais aussi les instruments scientifiques) au-dessus du bouclier thermique préalablement couplé au vaisseau spatial. C’est une manœuvre extrêmement difficile car tous les points de contact doivent être alignés avec précision avant de pouvoir être enclenchés. L’observatoire a pu être ainsi connecté mécaniquement. L’étape suivante, qui sera réalisée prochainement, sera de faire les connexions électriques et de les tester.

Le JWST complètement assemblé avec son bouclier thermique et les structures de palettes unitisées (UPSs) qui replient le télescope pour son installation dans Ariane.

 

(Crédits: NASA/Chris Gunn)

Cette étape symbolise les efforts de milliers d’individus répartis entre la NASA, l’ESA, l’ASC (Agence Spatiale Canadienne), Northrop Grumman, sans oublier nos partenaires industriels et académiques.
Bill Ochs
Chef de Projet du JWST pour la NASA

Le JWST finalement assemblé dans les locaux de Northrop Grumman à Redondo Beach, en Californie.

 

(Crédits: NASA/Chris Gunn)

Le Déploiement du miroir secondaire testé avec succès!

Le JWST est trop volumineux pour être positionné dans quelque fusée que ce soit : il a donc dû être conçu pour être plié pendant son transport.

Cela signifie qu’une fois que l’observatoire sera lancé dans l’espace, une série de déploiements dont la chorégraphie est extrêmement minutieuse, devra être réalisée pour que celui-ci puisse être opérationnel. Les techniciens et ingénieurs ont testé avec succès (le 6 août 2019) une des parties les plus critiques de cette chorégraphie : le déploiement de la structure qui positionne le miroir secondaire au-dessus du miroir primaire (lui-même composé de 18 segments hexagonaux). C’est ce plus petit miroir qui collectera la lumière réfléchie par le miroir primaire, pour la renvoyer vers plusieurs miroirs intermédiaires qui approvisionneront finalement les instruments scientifiques.

 

Ce test représentait la dernière grande étape avant l’intégration globale du télescope complet avec le vaisseau spatial. La prochaine fois que ce déploiement sera réalisé, ce sera dans l’espace !

 

C’est un des composants les plus critiques de l’observatoire: les ingénieurs et techniciens inspectent méticuleusement la structure qui soutient le miroir secondaire après le premier test de déploiement.

 

(Crédits: NASA/Chris Gunn)

Les ingénieurs et techniciens vérifient l’état du miroir secondaire et de la structure qui le soutient après la réalisation du premier test de déploiement.

 

(Crédits: Northrop Grumman)

Le JWST résiste aux derniers tests thermo-vide

Le 30 mai 2019, le JWST a terminé avec succès une étape critique : le vaisseau spatial est passé par une série de tests définitifs dans la chambre thermo-vide des locaux de Northrop Grumman (NGAS) : ces tests ont montré que l’électronique supportera sans problème les conditions de vide et de température de l’espace. Les opérations se sont déroulées dans une atmosphère aussi ténue que celle qui règnera lorsque l’observatoire sera en orbite, et dans laquelle les ingénieurs ont fait varier la température, entre -148°C et +102°C. Ces variations permettent de s’assurer que le vaisseau spatial survivra dans les conditions extrêmes qu’il rencontrera dans l’espace et pendant le décollage d’Ariane, ainsi que durant sa mise en orbite.

La préparation et le transport du vaisseau spatial jusqu’à l’intérieur de la chambre thermo-vide se fait avec d’extrêmes précaution.

 

(Crédits: Northrop Grumman)

Le vaisseau spatial, qui inclut le « bus » et le bouclier thermique, dans la chambre thermo-vide de Northrop Grumann.

 

(Crédits: Northrop Grumman)

Le vaisseau spatial est constitué du « bus », qui comporte tout l’équipement responsable de la navigation, et du bouclier thermique, constitué de 5 couches superposées, d’une dimension similaire à celle d’un court de tennis, qui maintiendra le télescope « à l’ombre » et à la température requise.

 

La deuxième partie de l’observatoire, qui inclut le télescope lui-même et les instruments scientifiques avait déjà passé avec succès ces mêmes tests, mais dans la chambre du Centre Spatial Johnson, à Houston, avant d’être livré à Northrop Grumman en 2018.

 

Avec cette dernière série de tests, les ingénieurs et techniciens ont maintenant l’assurance que tous les composants du JWST ont été exposés aux diverses conditions, parfois extrêmes, qu’ils rencontreront au décollage et plus tard en orbite, et que tout est prêt désormais pour le lancement, toujours prévu pour la fin mars 2021.

Une importante étape franchie !

Le « bus » du vaisseau spatial du JWST (le « SCE »Space Craft Element), la partie incluant tout l’équipement qui lui permet de voler dans l’espace, vient d’être soumis à des tests acoustiques et de vibrations exigeants. 

Pour cette épreuve , il était couplé au bouclier thermique (de la taille d’un court de tennis !), aux panneaux solaires, au système de refroidissement (pour l’instrument MIRI) et aux batteries. Cet exercice a été effectué avec succès dans les locaux de Northrop Grumman Aerospace Systems (NGAS), à Redondo Beach en Californie. A l’issue de ces tests, l’ensemble du SCE a été inspecté dans les moindres détails, après avoir été retiré de l’appareillage utilisé pour réaliser leur déroulement, et les instruments de mesure ayant été enlevés. Aucune surprise désagréable n’est apparue, et l’ensemble n’a été en rien affecté par le traitement auquel il a été soumis.


Les performances atteintes par le système de refroidissement, testé dans un deuxième temps, satisfont largement le cahier des charges. Le système d’acquisition TV a été installé.

Ce qui va suivre maintenant

L’ensemble sera maintenant déplacé dans une salle où ce système sera testé pendant 1 mois à partir du 22 mars 2019, au cours d’une série de 4 cycles chauds-froids, sous vide. A la fin du mois d’avril, il retournera dans la salle blanche (M8) de NGAS où les miroirs ont été intégrés (cf. actualité précédente).

 

Les tests cruciaux du déploiement du bouclier thermique auront lieu pendant la seconde moitié du mois de mai. En effet, une réserve d’un mois est prévue pour réparer/recoller les éventuelles entailles et déchirures. Les ingénieurs de la NASA et de NGAS estiment que le déroulement et la durée de ces tests permettront d’avoir un bon (ou mauvais ?) pressentiment quant à l’état réel de la feuille de route du projet et donc de la date du lancement. Après plusieurs vérifications le SCE devrait être prêt pour la « livraison » à la mi-septembre.

Le JWST bientôt complet

Finalement, il sera couplé à l’OTIS (OTE + ISIMOptical Telescope Element + Integrated Science Instruments Module) vers la fin septembre. L’observatoire JWST sera alors complet !


Viendront ensuite, durant le mois d’octobre 2019, l’installation des connexions au système de refroidissement de MIRI et les tests de déploiement et repliement du miroir primaire. Une revue complète de l’observatoire, appelée CST (Comprehensive System Test) aura lieu en novembre, suivie pendant la période de Noël de tests acoustiques et de vibrations dans les 3 axes, jusqu’en janvier 2020. Tous les tests devraient être terminés et le JWST au complet devrait être en caisses aux alentours d’août 2020, enfin prêt pour son voyage à Kourou. Mais n’anticipons pas….

Le vaisseau spatial du JWST juste avant d’être transporté dans la salle de NGAS à Redondo Beach, où auront lieu les tests acoustiques et de vibrations.


(Credits: NASA’s Goddard Space Flight Center/Chris Gunn)

JWST